« Par un prophète, l’Eternel fit monter Israël hors d’Egypte, et par un prophète Israël fut gardé»
Osee 78:1-8En ce temps de la fin, Dieu a visité cette dernière génération de manière extraordinaire par le ministère prophétique de son serviteur, William Marrion Branham. Né le 6 avril 1909 à Burksville, Kentucky, USA, sa vie particulière a été marquée par des phénomènes surnaturels tels que : Vision et prophéties (qui se sont toujours accomplies), apparition des anges, guérisons miracles, résurrection des morts, etc.
William Marrion Branham est réellement un prophète envoyé par le Dieu tout puissant avec des signes et des prodiges pour préparer le peuple à l’Enlèvement avant la venue du grand et terrible jour du jugement de Dieu, comme annoncé et promis
«Voici, je vous enverrai Elie, le prophète, avant que le jour de l’Eternel arrive, ce jour grand et redoutable. Il ramènera le cœur… des enfants à leurs pères. De peur que je ne vienne frapper le pays d’interdit. »
Malachie 4:5-6Ses enseignements et doctrines strictement basés sur les Saintes Ecritures, la Bible, qu’il reconnait comme la seule autorité en matière de foi, ont montré que c’est le Seigneur Jésus-Christ, la Divinité suprême, qui est le seul vrai Dieu fait chair, et que Son Nom, Jésus-Christ, est le seul Vrai Nom parmi les hommes pour le salut ; que seule la foi en lui amène à la Vie Eternelle, et que le seul baptême biblique est celui par immersion dans le Nom du Seigneur Jésus-Christ. Voici quelques-uns des événements surnaturels qui ont marqué sa vie :
“Quand je suis né dans une petite cabane là-bas au Kentucky, l’Ange du Seigneur est entré par la fenêtre et s’est tenu là. C’était une Colonne de Feu.”
L’aube venait tout juste de percer l’obscurité de ce ciel frais d’avril. L’unique fenêtre en bois s’ouvrit pour laisser entrer la lumière matinale dans la minuscule cabane d’une seule pièce. Un rouge-gorge qui se tenait près de la fenêtre semblait particulièrement excité ce matin-là et chantait à pleins poumons. À l’intérieur de la cabane, le jeune Charles Branham mit ses mains dans ses salopettes flambant neuves et regarda sa femme âgée de 15 ans. “Nous l’appellerons William”, dit le père.
Une Lumière surnaturelle entra par la fenêtre. La Lumière se déplaça dans la pièce et s’arrêta au-dessus du lit où se trouvait le nouveau-né. C’est cette même Lumière qui avait fait sortir les enfants hébreux d’Égypte. C’est cette même Lumière qui avait rencontré Paul sur le chemin de Damas. Et c’est Elle qui allait maintenant conduire cet enfant destiné à appeler l’Épouse de Christ à sortir du monde. Cette Lumière n’était nul autre que l’Ange du Seigneur, la Colonne de Feu : Elle était de nouveau apparue à l’homme.
« Et là, dans cette petite cabane en rondins, ce matin du 6 avril, la sage-femme a ouvert la fenêtre pour laisser pénétrer la lumière, afin que maman et papa puissent voir comment j’étais. C’est alors qu’une Lumière de la grandeur d’un oreiller est entrée par la fenêtre en tourbillonnant. Elle a décrit un cercle autour de l’endroit où je me trouvais et Elle est descendue sur le lit. Plusieurs montagnards se tenaient là. Ils pleuraient.»
La modeste demeure se trouvait dans les collines du sud du Kentucky, près de la petite ville de Burkesville. C’était le 6 avril 1909. Le bébé était le premier des dix enfants qu’ont eus Charles et Ella Branham.
À peine quelques années plus tard, l’Ange du Seigneur visita de nouveau le jeune William Branham.
Il était enfant lorsque l’Ange lui parla pour la première fois, lui disant qu’il allait habiter et passer sa vie près d’une ville du nom de New Albany. Il rentra dans la maison et raconta à sa mère ce qui venait d’arriver. Comme n’importe quelle mère, n’accordant pas beaucoup d’importance à ce qu’il dit, elle le mit au lit pour calmer ses jeunes nerfs. Deux ans plus tard, sa famille alla s’installer à Jeffersonville, dans l’Indiana, à quelques kilomètres seulement de New Albany, une ville du sud de l’Indiana.
Quelques années plus tard, l’Ange parla de nouveau au jeune prophète. C’était une journée tranquille de septembre, et le soleil chaud brillait à travers les feuilles aux couleurs automnales. Le garçon marchait en boitant, alors qu’il transportait deux seaux d’eau sur le sentier. Il avait un épi de maïs attaché à son orteil blessé, pour éviter son contact avec la terre. Il s’assit pour se reposer à l’ombre d’un grand peuplier. Les larmes ruisselaient sur son visage, alors qu’il pleurait sur son malheur : ses amis étaient en train de s’amuser à pêcher dans la mare du coin, et lui était condamné à transporter de l’eau pour son père. Tout à coup, un vent se mit à tourbillonner dans l’arbre, au-dessus de lui. Il s’essuya les yeux et se leva. Il entendit le bruit des feuilles qui s’agitaient dans le vent… mais il n’y avait pas de vent. Il leva les yeux et, à mi-hauteur du peuplier, il y avait quelque chose qui faisait tourbillonner les feuilles sèches.
Tout à coup, une Voix parla : “Ne bois pas, ne fume pas et ne souille ton corps d’aucune façon, tu auras une œuvre à accomplir quand tu seras plus âgé.” Effrayé, le garçon de sept ans laissa tomber ses seaux et courut vers sa mère.
Durant toute sa vie, Frère Branham aspira à être dans des endroits sauvages. À 18 ans, il quitta l’Indiana pour les montagnes accidentées de l’Ouest. Son séjour en Arizona fut cependant de courte durée, car il fut forcé de rentrer.
Un jour j’ai décidé que j’avais trouvé un moyen de me débarrasser de cet appel : j’irais dans l’Ouest travailler dans un ranch. Mon ami, Dieu est tout aussi grand là-bas que n’importe où. Puissiez-vous tirer profit de mon expérience. Quand Il vous appelle, répondez-Lui.
Par un matin de septembre de l’an 1927, j’ai annoncé à maman que je partais en camping à Tunnel Mill, qui se trouvait à environ quatorze milles [vingt-trois kilomètres] de Jeffersonville, où nous habitions à l’époque. J’avais déjà fait les préparatifs pour partir en Arizona avec quelques amis. Les prochaines nouvelles que maman a eues de moi, je n’étais pas à Tunnel Mill, mais à Phoenix, en Arizona, en train de fuir le Dieu d’Amour. La vie de ranch, ce fut bien agréable pendant quelque temps, mais on s’en lasse vite, comme de tous les autres plaisirs de ce monde. Par contre, permettez-moi de dire ici : Gloire à Dieu, l’expérience avec Jésus, elle, devient toujours plus douce, et on ne s’en lasse jamais. Jésus procure toujours une paix et une consolation parfaites.
Bien des fois j’ai entendu le vent souffler dans les grands pins. Il me semblait entendre Sa voix qui appelait, très loin dans la forêt, qui disait : “Adam, où es-tu?” Les étoiles semblaient tellement proches qu’on aurait pu les prendre avec la main. Dieu semblait être si près.
On dirait qu’il y a quelque chose dans cette région-là qui, encore aujourd’hui, a un sens vraiment spécial pour moi, ce sont les routes du désert. Si jamais on sort de la route, il est tellement facile de se perdre. Combien de fois les touristes, en apercevant des petites fleurs du désert, sortent de la route pour aller les cueillir. Ils se mettent à errer dans le désert et s’y perdent, et parfois ils y meurent de soif. Il en va de même de la voie chrétienne : Dieu a une route. Il en parle dans Ésaïe, chapitre 35. Elle s’appelle la “route de la Sainteté”. Très souvent les petits plaisirs de ce monde vous entraînent hors de la route. Vous avez alors perdu votre expérience avec Dieu. Quand on est perdu dans le désert, on voit parfois apparaître un mirage. Pour des gens qui sont en train de mourir de soif, ce mirage, ce sera une rivière ou un lac. Très souvent les gens vont se mettre à courir après ces mirages, ils se jetteront sur eux et se retrouveront simplement en train de se baigner dans le sable chaud. Parfois le diable va vous montrer quelque chose que lui, il appelle une vie agréable. Ce n’est qu’un mirage, quelque chose qui n’est pas réel. Si vous écoutez, vous vous retrouverez submergé de chagrins, c’est tout. Cher lecteur, ne l’écoutez pas. Croyez en Jésus, qui donne de l’eau vive à ceux qui ont faim et soif.
Un jour j’ai reçu une lettre de la maison, où on m’annonçait qu’un de mes frères était très malade. Il s’agissait d’Édouard, le plus âgé après moi. Évidemment, comme je pensais que ce n’était pas grave, je croyais qu’il se remettrait. Mais quelques jours plus tard, un soir que je revenais de la ville, en passant dans la cantine du ranch, j’ai vu un bout de papier sur la table. Je l’ai ramassé. Il était écrit : “Bill, rends-toi au pâturage du nord. Très important.” Après avoir lu cette note, j’ai marché vers le pâturage avec un ami. La première personne que j’ai rencontrée, c’est un vieux cow-boy du Texas qui travaillait au ranch. Son nom était Durfy, mais nous, on l’appelait “Pop”. Le visage empreint de tristesse, il m’a dit : “Billy, mon garçon, j’ai une mauvaise nouvelle pour toi.” Au même moment, le contremaître est arrivé. Ils m’ont annoncé qu’un télégramme venait d’arriver : mon frère était mort.
Cher ami, pendant un moment, je ne pouvais plus bouger. C’était la première mort dans notre famille. Mais je tiens à dire que la première chose à laquelle j’ai pensé, c’est que je me suis demandé s’il était prêt à mourir. Je me suis retourné et j’ai promené mes regards sur la prairie toute jaune, alors que les larmes coulaient sur mes joues. Que de souvenirs, comme il nous avait fallu lutter quand nous étions enfants ensemble, comme c’était pénible pour nous.
Nous allions à l’école avec à peine assez à manger. Nos orteils sortaient de nos chaussures, et il nous fallait épingler nos vieux manteaux au cou, parce que nous n’avions pas de chemise. Je me rappelais aussi le jour où, pour notre dîner, maman nous avait mis du pop-corn dans un petit seau. Nous ne mangions pas avec les autres enfants; nous n’avions pas les moyens de nous payer la même nourriture qu’eux. Nous nous éclipsions toujours derrière la colline pour manger. Je me souviens que le jour où nous avons eu du pop-corn, pour nous c’était un vrai festin. Aussi, pour m’assurer que j’aie eu ma part, je suis sorti avant midi, et j’en ai pris une bonne poignée avant que frérot ait sa part.
Alors, en promenant mes regards sur la prairie desséchée par le soleil, je pensais à toutes ces choses et je me demandais si Dieu l’avait emporté vers un endroit meilleur. Encore là, Dieu m’a appelé, mais, comme d’habitude, j’ai cherché à résister.
Je me suis préparé à rentrer pour les funérailles. Quand le pasteur McKinney de l’église de Port Fulton, un homme qui est comme un père pour moi, a prêché aux funérailles, il a mentionné ceci : “Il y a peut-être des gens ici qui ne connaissent pas Dieu, s’il y en a, c’est maintenant le moment de vous attendre à Lui.” Oh, comme je me suis agrippé à mon siège! De nouveau, Dieu traitait avec moi. Cher lecteur, quand Il appelle, répondez-Lui.
Je n’oublierai jamais combien mon pauvre vieux papa et ma pauvre vieille maman ont pleuré après les funérailles. Je voulais retourner dans l’Ouest, mais maman m’a tellement supplié que j’ai fini par accepter de rester si j’arrivais à trouver du travail. Je n’ai pas tardé à trouver un emploi pour le compte des services publics de l’Indiana.
Environ deux ans plus tard, alors que je vérifiais des compteurs à l’atelier de compteurs de l’usine à gaz de New Albany, j’ai été intoxiqué par le gaz, et je m’en suis ressenti pendant des semaines. Je suis allé consulter tous les médecins que je connaissais. Rien n’allégeait mes souffrances. J’avais des aigreurs d’estomac, séquelles de l’intoxication par le gaz. Mon état empirait toujours. On m’a envoyé consulter des spécialistes de Louisville, dans le Kentucky. Ils ont conclu qu’il s’agissait de mon appendice et m’ont annoncé qu’il me faudrait subir une opération. Je n’arrivais pas à le croire, puisque je n’avais jamais eu mal au côté. Les médecins ont déclaré qu’ils ne pouvaient rien faire de plus pour moi tant que je n’aurais pas été opéré. J’ai fini par accepter, mais j’ai exigé qu’ils procèdent par anesthésie locale pour que je puisse suivre l’opération.
Oh, je voulais avoir quelqu’un qui connaissait Dieu auprès de moi. Je croyais à la prière mais je n’arrivais pas à prier. Alors le pasteur de la Première Église Baptiste m’a accompagné à la salle d’opération.
Quand ils m’ont transporté de la table à mon lit, je sentais mes forces qui faiblissaient de plus en plus. Mon coeur battait à peine. Je sentais la mort qui me guettait. Mon souffle devenait de plus en plus court. Je savais que j’étais arrivé au bout de ma route. Oh, mon ami, attendez un peu d’en arriver là une fois, alors vous penserez à beaucoup de choses que vous avez faites. Je savais que je n’avais jamais fumé, ni bu, ni eu des habitudes impures, mais je savais que je n’étais pas prêt à rencontrer mon Dieu.
Mon ami, si vous n’êtes qu’un membre d’église froid et formaliste, vous saurez, quand vous arriverez à la fin, que vous n’êtes pas prêt. Alors, si c’est tout ce que vous savez au sujet de mon Dieu, je vous demande de vous agenouiller en ce moment même, et de demander à Jésus de vous donner cette expérience de la nouvelle Naissance dont Il a parlé à Nicodème dans Jean, chapitre 3. Et, oh, les cloches de la joie carillonneront! Gloire à Son Nom!
«Comme Jean fut envoyé avec un Message pour la première venue, ceci est également le second Message pour la seconde venue.»
Les visions ont continué. Ses collègues dans le ministère lui ont dit que ses visions ne venaient pas de Dieu. On lui a dit qu’il était possédé d’un mauvais esprit. Cela l’a troublé profondément. Le fardeau est devenu trop lourd à porter, il est alors parti dans un lieu sauvage pour chercher la volonté de Dieu. Cela lui tenait tellement à cœur qu’il avait juré qu’il ne reviendrait pas tant qu’il n’aurait pas reçu de réponse. C’est là, dans une vieille cabane de trappeur, que l’Ange du Seigneur lui a donné sa commission. L’Ange lui a dit notamment : “Si tu amènes les gens à te croire, et que tu es sincère quand tu pries, rien ne résistera à tes prières, pas même le cancer.”
Tous les doutes avaient disparu. Maintenant, il avait une commission, et il est allé de l’avant avec assurance. Le réveil de guérison avait commencé.
Des centaines de milliers de personnes ont assisté aux campagnes Branham. Des milliers ont été guéris au Nom du Seigneur Jésus-Christ. D’autres évangélistes, comme Oral Roberts, T. L. Osborn et A. A. Allen, ont bientôt suivi Frère Branham et ont commencé leurs propres campagnes de réveil de guérison. Le Seigneur a fait pleuvoir Ses bénédictions comme jamais auparavant. La main guérissante de Jésus-Christ avait une nouvelle fois touché Son peuple.
Frère Branham décrit souvent une Colonne de Feu qui a confirmé son ministère. Elle était présente à sa naissance, elle a été vue par des milliers de personnes sur la rive de la rivière Ohio, et elle semblait le suivre partout où il allait. C’est en 1950 que le Seigneur a donné aux croyants, et aux incroyants, la preuve infaillible que cette Colonne de Feu accompagnait le prophète.
La soirée au stade Sam Houston fut entourée de controverse. Frère Branham conduisait une campagne de réveil de guérison qui balayait le pays. Les bénédictions du Seigneur Jésus se déversaient comme de la pluie sur les champs de blé spirituels. Mais les grands signes et prodiges ne sont pas venus sans qu’il y ait des critiques. Comme toujours, l’ennemi a suscité un adversaire. Les deux forces se sont rencontrées à Houston, au Texas, et l’Ange du Seigneur Lui-même est descendu combattre.
Des milliers de personnes étaient déjà présentes pour témoigner des innombrables miracles qui suivaient cet homme de Dieu. La veille, un groupe de pasteurs locaux avait invité le prophète à relever le défi de participer à un débat sur la guérison Divine. C’est le révérend F. F. Bosworth, compagnon de longue date du prophète, qui a tenu à relever ce défi. Les nombreux sceptiques étaient représentés par un pasteur baptiste local qui s’opposait vivement à la guérison Divine. Il y a eu des fuites dans la presse à propos du débat qui allait avoir lieu, et les journaux en ont rapidement fait leurs manchettes : “Empoignade théologique ce soir à 19 h, au stade Sam Houston.”
Ce sceptique a engagé Ted Kipperman, un photographe professionnel des studios Douglas, pour couvrir le débat. Ce soir-là, des photos ont été prises de Frère Bosworth se tenant modestement debout alors que le sceptique posait en prenant des attitudes intimidantes, comme de pointer un doigt accusateur vers cet homme âgé.
Lorsque le débat commença, Frère Bosworth démontra rapidement l’authenticité de la guérison par des preuves bibliques, et ensuite, pour couper court à la controverse, il demanda à tous ceux qui avaient été guéris de leurs infirmités de se lever. Des milliers de personnes se levèrent. Il les fit rasseoir et demanda ensuite à tous ceux qui avaient été guéris par la guérison Divine et qui étaient des membres reconnus de la dénomination de cet homme, de bien vouloir se lever. Trois cents membres d’église se levèrent pour témoigner fièrement de la miséricorde du Seigneur Jésus à leur égard.
C’est alors que le sceptique lança ce défi : “Que ce guérisseur Divin s’avance. Qu’il se produise.” Frère Bosworth tint à préciser que le seul Guérisseur Divin, c’était Jésus, mais le sceptique vociférait de plus belle. Finalement, Frère Bosworth invita Frère Branham à venir sur l’estrade. Il accepta l’invitation au milieu de cris de soutien
Le prophète, rempli du Saint-Esprit, donna la réponse suivante :
«Je ne peux guérir personne. Voici ce que je peux dire. Quand je suis né dans l’État du Kentucky, que j’étais bébé, d’après ma chère mère et comme cela a été confirmé durant toute ma vie, il y a une Lumière qui est entrée là, dans la pièce de ce petit abri où je me trouvais. Pas de plancher, il n’y avait même pas de fenêtre, juste une petite chose en guise de fenêtre, un genre de volet qu’ils ont ouvert vers les cinq heures du matin, et cette Lumière est entrée en décrivant des cercles, alors que le jour se levait. Depuis ce temps-là, Elle m’a accompagné. C’est un Ange de Dieu. Il m’a rencontré en personne il y a quelques années. Tout au long de ma vie, Il m’a dit des choses qui sont arrivées, et je les ai dites exactement comme Il me les a dites. Et je mets au défi n’importe qui, n’importe où, d’aller dans la ville où j’ai grandi ou n’importe où ailleurs, et de m’indiquer une seule déclaration faite au Nom du Seigneur qui ne se soit pas accomplie exactement comme annoncé.»
Après ces paroles, le Saint-Esprit est descendu sur l’estrade; tout excité, le photographe a pris une photo. Frère Branham, en quittant l’estrade, a fait cette déclaration simple mais prophétique : “Dieu rendra témoignage. Je n’ajouterai rien.”
L’associé de M. Kipperman s’est rapidement mis au travail; il développa les photos pour qu’elles paraissent dans les nouvelles du lendemain matin. Il remarqua quelque chose d’étrange quand il retira la première photo du bain révélateur. Cette photo, comme les cinq suivantes, était blanche. Il faillit s’évanouir en retirant la dernière photo de la solution. Là, sur cette dernière photographie, se trouvait la Colonne de Feu sous une forme visible, suspendue au-dessus de la tête du prophète de Dieu, William Marrion Branham.
«Les enfants d’Israël furent témoins de la Colonne de Feu qui conduisait Moïse, et aujourd’hui, les gens ont été témoins de cette même Colonne de Feu qui a conduit un autre prophète.»
La photo fut rapidement transmise à George J. Lacy, examinateur professionnel en documents contestés pour le FBI américain, qui, en tant qu’expert, a confirmé l’authenticité de la photo. Le document officiel fourni par M. Lacy.
Nous croyons au Message prêché par William Marrion Branham, accomplissant Malachie 4: 5,6. A travers le Cri, ce Message appellerait une Epouse pour se préparer à la venue de notre Seigneur Jésus- Christ.
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